TÉLÉCHARGER JEAN FERRAT AIMER À PERDRE LA RAISON GRATUIT
Avant même de se toucher. La lune se taisait comme vous vous taisiez,. Pour vos toisons de ronce douce. Lorsque les choses plus ne sont. Pour ce rien cet impondérable. Que pour la lumière qui baisse. Entre la ronde et le voyage.
Nom: | jean ferrat aimer à perdre la raison |
Format: | Fichier D’archive |
Système d’exploitation: | Windows, Mac, Android, iOS |
Licence: | Usage Personnel Seulement |
Taille: | 48.5 MBytes |
J’aurais tant aimé cependant. Ils se contentaient de si peu. Vous qui semblez autre moi-même. Au feu dont je suis consumé. Avant même de se toucher. Je le connais ce ferrxt. Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés.
J’entends leurs pas, j’entends leurs voix.
Chausser des bottes de sept lieux. Il aurait mieux valu le taire.
Ta main que je pourrais serrer. Ailleurs que dans le jexn, ailleurs que dans les nues. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre. Nous vivons sous le même règne. Tu ne ferrat point toutes ces belles choses. Non dans un lit aux draps froissés. Survivre encore un jour, une heure, obstinément.
Pour ce plaisir qui vous inonde. On vit ensemble séparés. Dans mes bras ferrat te tiens absente. A jamais de toi parfumées. Au feu dont je suis consumé.
???? Paroles de Jean Ferrat : Aimer à perdre la raison – paroles de chanson
La bouche pleine de groseilles. Pour vos paroles démesure.
J’aurais tant aimé cependant. Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux. Ma barque au loin douce à ramer. O mon unique amour ma grande folie. Je ris même aux éclats. Mais ma akmer continue. J’y crois aussi, moi, par moments.
Le malheur au malheur ressemble. Mon enfant dit-il ma chère âme. En elle je porte ma croix.
Jean Ferrat – Aragon – Aimer à perdre la raison
Le nom qui ressemble à la braise. Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants. Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants. Votre enfer est pourtant le mien.
Paroles de la chanson «Aimer à perdre la raison» par Jean Ferrat
Aux pointes de vos seins levés. Lorsque les choses plus ne sont. Ah je suis bien votre semblable. Nus et maigres tremblants, dans ces wagons plombés.